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Jour 1 Jour 2
 
Nous voici donc à Bora Bora, la "perle du pacifique". C'est une île qui s'est complètement ouverte au tourisme, elle compte près de 700 bungalows sur pilotis pour une circonférence d'environ 32 Km. Elle ne compte qu'une seule plage, celle de Matira au sud de l'île. Ceci explique que les principaux hôtels se trouvent, soit au sud, soit sur les motus. Fin janvier 1942, après l'attaque de Pearl Harbour au mois de décembre 1941, les américains décidèrent d'installer une base de ravitaillement. Il reste quelques vestiges de cette époque dont l'aéroport qui fut longtemps le plus grand de Polynésie. Depuis le début des années 60, des constructions hôtelières de luxe ont vu le jour, ceci a donné à Bora-Bora une réputation d'île chère. Réputation qui, comme nous allons le constater, est exacte.
Nous voici donc au Sofitel au sud de l'île. Lever vers 5 heures 30 et petit tour de l'hôtel avec le lever du soleil. A droite la capitainerie d'où partent les bateaux pour le Sofitel Motu (une autre partie de l'hôtel) et à gauche le lagon, avec en fond, un motu. Après le déluge que nous avons eu hier, il fait à peu près beau ce matin.
La piscine avec la plage en arrière plan Le bar L'allée allant du bar à la réception
   
Quelques images du parc dans lequel se trouvent les bungalows jardins
Nous allons chercher Titine 2ème au Novotel où nous aurions dû être logés. Le surclassement a quelque fois du bon. Les chambres sont dans des bâtiments à étage et le jardin, quoique plus aéré, est moins fourni que celui que nous avons.
Un truck (transport polynésien ayant tendance à disparaitre) devant l'entrée du Novotel.
Une fois la voiture louée, nous partons pour le tour de l'île dans le sens des aiguilles d'une montre. Quelques paysages, des bungalows privés.
Les bateaux sont sortis de l'eau dans pratiquement toutes les îles que nous avons visitées. Comme ça, les algues ne se collent pas à la coque.
Lors de la Deuxième Guerre Mondiale, des batteries côtières ont été installées sur les hauteurs de Bora-Bora pour défendre l'île et sa base de ravitaillement. Certains vestiges sont facilement accessibles hormis une belle montée courte mais très raide. En chemin, la vue sur le lagon et les motus est superbe.
Vue sur le Bora-Bora Pearl Beach Resort avec ses 80 bungalows dont 50 sur pilotis
Une dernière vue qui nous est chère car en fond, on distingue l'île de Maupiti qui est surement notre plus belle rencontre tant pour le cadre que pour les gens qui y vivent.
   
Un des affûts de canon
Un autre canon, complet lui
Petit percuteur et 44 fillette

Les courses de pirogues étant le sport traditionnel par excellence, il fallait vous en montrer une. C'est fait. Le grand événement sportif est la course Hawaiki Nui Va'a qui se déroule fin octobre ou début novembre pendant 3 jours sur des pirogues 6 places.

Jour1, Huahine/Raiatea, 44.5 km

Jour 2, lagon de Raiatea et Tahaa sur 20 km

Jour 3, Raiatea/Bora-Bora, 52km

Le sommet de Bora que nous ne verrons que peu de temps dégagé car la pluie va refaire son apparition et ne plus nous lâcher à partir de demain (sous forme de grains) jusqu'à notre départ après-demain midi.
   
Une des deux navettes d'Air Tahiti qui transfèrent les passagers entre l'aéroport et le village de Vaitape.
   
Continuons notre tour des églises ou temples.
   

Pendant que Vincent va plonger à la recherche de requins citron, les enfants se baignent dans la piscine à débordement du Sofitel.

 

Même sous la pluie
   
Une fois le grain passé, ils changent de site et optent pour la plage.
   
Vue du Sofitel Motu.
   
Le soir, apéritif au bar de l'hôtel, la plongée de l'après midi s'est bien passée, requins à pointes blanches, requins citron, rémoras, etc..... Au retour, il était prévu de s'arrêter pour des baptêmes de plongée, la houle étant un peu forte à l'extérieur, le directeur de plongée décide de les faire dans le lagon. L'attente ne fut pas longue car les autres plongeurs ont eu le loisir de pratiquer l'apnée. Vincent a pu voir un poisson vache pour la seule et unique fois du voyage (pas de photos, pour les courageux, faire une recherche). Le retour à la terre ferme n'a pas été aussi simple que prévu. Une corde a été prise dans l'hélice d'un des moteurs et une des responsables est descendue pour l'enlever. Vincent, pour l'aider, a sauté à l'eau en enjambant une échelle, mais, trompé par la hauteur de l'eau, est mal retombé et s'est fait une grosse entorse à la cheville gauche.
   
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